jeudi 29 mai 2025

Paroles de Dieu… paroles de vie.

               Paroles de Dieu… paroles de vie.


 La Parole sortie de la bouche de Dieu peut-elle se réduire, à l’origine de la CREATION en objet de savoirs et de connaissances des humains ?

Aux heures du  doute et de la mise à l’épreuve de ses disciples, Jésus-Christ leur dit  bien ceci : « que servirait-il à un homme de gagner tout le monde s'il perdait son âme ou que donnerait un homme en échange de son âme » ? (Math 16 :26).

Notre monde d’aujourd’hui,  repose aveuglément sur des concepts philosophiques et autres théories qui contestent ou réduisent à néant, l’existence même du Dieu Créateur. Une posture idéologique qui avait déjà conduit le nihiliste NIETZSCH, dans son embarras, à concéder que si (en Occident) Dieu est donc mort… » que chacun s’efforce alors de vivre au-delà du bien et du mal".

Toute la question de nos jours est de savoir, qui, finalement, a cette capacité intellectuelle ou force intérieure de ne croire en rien sans faire du tort ou du mal à son prochain. Autour de nous, tout ce qui n'est pas rationnel (même pour nous qui sommes les héritiers culturels d’anciens et vieux peuples de l'oralité), parait encore suspect, injustifiable, stupide, sans fondement donc sans logique. Pourtant, Dieu et Jésus Christ ne sont nullement des inventions d’homme.

 DIEU EST OMNISCIENT ET ETERNEL. 

« Mon peuple périt et meurt faute de connaissances » relevait déjà le prophète OSEE (4 :6) à l’endroit d’Israël. Pour compenser cela, le Patriarche Job nous invite encore à « interroger les générations passées »(8 :8-10) afin de savoir si Dieu est toujours le même, c’est-à-dire ETERNEL et Maître du temps. S'Il existe véritablement ?

 Car, pour nous autres, c'est bien de sa « bouche que sort la VERITE sur toutes les choses de la terre  (Prov 8 : 8-9) sans oublier qu'« Il est encore fidèle et se rappelle à toujours de son alliance, ses promesses pour mille générations » (Ps 105 : 3 et 8).

En ces temps  de panique, d’inquiétude, d’incertitude et de manque de confiance dus à  la pandémie du covid-19 (virus qui continue de faire des vagues, provoquant des centaines de milliers de morts de par le monde), sur quoi reposent en fait aujourd’hui, notre foi et la garantie des promesses ainsi que nos certitudes en l’Eternel, en attendant la fin des temps prophétiques annoncée (Daniel  9 :26 et Apocalypse 22 :10-15) ?

Trois temps prescrits dans l’ancien Testament en fêtes à Israël (Levith23), ont déjà trouvé leur plein accomplissement et concordance dans le nouveau Testament. La Pâques ou crucifixion du Christ (fête des semaines), sa mort et sa résurrection (fête des prémices) enfin, la Pentecôte ou fête des moissons avec promesse d'expansion et d’effusion du Saint-Esprit ( Joël 2 :28  Actes 2 ) encore appelé dans la bible « Esprit de Vérité « , Conducteur ou Consolateur.  

Ainsi, depuis plus de 2.000 ans,  tous ces événements ont déjà été accomplis. Et nous avons encore (apparemment), du mal à savoir ce que Dieu promet à notre époque, en notre temps aux hommes de notre génération. 

N'en déplaise aux nombreux combattants de la « laïcité » ou aux  défenseurs des droits fondamentaux de l'HOMME.

Des événements de la bible dont nous venons de parler, seul un « entre-deux", souvent escamoté et sur lequel  Daniel (7 : 13-14) et Jésus-Christ lui-même ( Jean 14 et  20 :17-18) se sont largement appesantis, reste et demeure énigmatique avec tout son mystère et ses promesses. 

Il s’agit bien de l’ascension de notre Seigneur Jésus-Christ  vers son Père conformément au plan arrêté par l’Eternel lui-même. Le jour oû, il est monté  « en chair et en os » devant ses disciples pour arriver devant son Père souligne bien le prophète Daniel.

On ne peut donc apprécier les vertus fascinantes, fécondes, déstabilisantes et cachées derrière les Paroles sorties de la bouche de Dieu, sans préalablement tenter de souscrire à cette quête ou exercice d’introspection et de recherche de la VOIE que l’apôtre Pierre nous propose.

Quiconque cherche à se rapprocher véritablement de Dieu, doit, dit-il, d’abord commencer par apprendre à « rejeter toutes les formes de méchanceté, toute ruse, violence, dissimulation et médisance » enfouies dans notre inconscient comme le recommandait à nos Pères Levith 24 :10-22. Autrement dit, commencer par  rompre définitivement avec les rouages de tout ce qui participe, nourrit ou conduit au péché (Galates 4 : 15-22).

Ensuite, chercher à « désirer comme des enfants nouveau-nés  le lait spirituel et pur" avant de prétendre enfin, s’approcher  «  de la pierre vivante rejetée par les hommes » ( 1Pi 2 : 1-9). A savoir Jésus-Christ le Rédempteur et Sauveur de tous les hommes.

Est-ce bien, en toute honnêteté et franchise, avant ou après le baptême, le cheminement que chacun de nous emprunte ou suit aujourd’hui dans l’ECC ?

L’Eglise est le seul lieu ou l’occasion qui nous est offerte par Dieu lui-même de faire sa rencontre pour entendre sa voix afin de nous libérer de notre « esclavage  » et vivre en espérance la promesse du salut. Mais seulement une fois après avoir appris ou fait la découverte de sa Parole, de ses promesses et merveilles.

 Proverbes 3 : 13-15  proclame à cet effet  :  « Heureux l’homme qui a trouvé la Sagesse et l’homme qui possède l’intelligence. Car le gain qu’elle procure est préférable à celui  de l’argent, et le profit qu'on en tire vaut mieux que l'or. Elle es plus précieuse que les perles. Elle a plus de valeur que tous les objets de prix ». Il s’agit bien entendu de la « sagesse céleste » à  ne jamais confondre avec celle des hommes « qui est terrestre, charnelle et diabolique »(Jacq 3 : 17).

Il nous faut donc nécessairement acquérir une vraie  intelligence et faire preuve de sagesse, pour être en capacité de parler de Dieu, connaitre ses voies avant de pouvoir comprendre tout ce qui concerne son univers qui nous permettra d'apprendre à faire sa volonté par la même occasion.

Et c'est bien ce témoignage de la recherche du chemin de la connaissance qui mène à Dieu, que Moïse donne dans les saintes Écritures.

 Dans une de ses conversations avec son Créateur et Maître, l’Elu et premier prophète missionné de Dieu dit : « maintenant,  si j'ai effectivement trouvé grâce à tes yeux, fais moi connaître tes voies, alors je te connaitrai et je trouverai encore grâce à tes yeux"(Exode 33 :13).

Pourquoi nos Pères de l’ancien Testament, avaient-ils eu tant de mal à saisir comment faire la volonté de l’Éternel ou à  mettre simplement en pratique ses ordonnances, prescriptions et commandements ? Notre génération fait-elle mieux ou continue t-elle  à reproduire les mêmes schémas en suivant les mêmes travers ?

A l'instar de ce que chaque apôtre a contribué à apporter à la mission d’évangélisation du Christ, nous sommes plus que redevables à l’apôtre Jean, d’avoir mis en exergue (Jean 1 : 1-19)  le caractère intemporel et intrinsèque qui  lie les « LOIS de Moïse, la GRÂCE et la VERITE venues par JÉSUS-CHRIST », comme venant de la même source ; ainsi que toute la miséricorde attachée à cette Grâce qui accompagne  désormais le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ par lequel, Dieu,  « sanctifiait déjà par le sang  Israël sur son Autel » (Levitique  17 :11).

 Un sacrifice qui règle une fois pour de bon le contentieux du péché originel entre Dieu et le diable ; faisant désormais de la « Grâce » et du pardon des péchés, les nouvelles prescriptions et normes d’élection entre  « ceux qui croient pour être sauvés »( Marc 16 :16) et tous les autres.

Le fameux « au commencement était la Parole,  la Parole était avec Dieu, la Parole était Dieu » rattache donc très clairement cet évangile au livre de la Genèse. Il montre par la même occasion que l’apôtre a voulu nous faire toucher du doigt combien il est impossible à l'Homme de chair ou aux gens du monde, de connaître véritablement le Créateur ou le chemin qui mène à Lui sans que Dieu lui-même n'intervienne, ne se manifeste ou ne se dévoile ( Gen 29 :29 et 2Pi 1 :20).

De quoi comprendre à ce jour, les confusions encore entretenues au sujet de la connaissance et adoration de  Dieu par les adeptes des religions traditionnelles de nos pères en Afrique.

En laissant de côté tout ce que nous avons appris sur la création dans le livre de la Genèse, l’expression « Faisons l’homme à notre image et selon notre ressemblance (Gen 1 :26) est déjà en soi un indice fort sinon la preuveincontestable du bon vouloir du Créateur et de la décision qu’il a prise seul, de « souffler dans les narines de l’homme pris de la terre un souffle de vie pour que l’homme devint une âme vivante (Gen 2 :7) au sixième jour de la Création.

A ce désir du don de la vie, il faut immédiatement encore ajouter une autre prescription divine sous la forme d'interdit formel; « tu pourras manger de tous les arbres du jardin mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal,  car le jour oû tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 : 16-17).

 De cet arsenal législatif primitif du Créateur, écrit originellement dans le cœur de l'HOMME ADAM  (Rom 1 : 20-23 bien avant les  10 commandements remis à Moïse ), il résulte que quiconque n’obéit pas à la Parole de Dieu, transgresse la loi et prend ainsi le risque d’ouvrir la porte de son cœur à l’obscurité, aux forces du mal et des ténèbres.

Quiconque désobéit à Dieu,  attire aujourd’hui encore sur sa tête, les foudres de la sanction divine prévues à cet effet pour avoir fait entrer le mal, c’est-à-dire le péché dans sa vie ; rendant son CŒUR esclave des agissements et ruses de l’ennemi des âmes.

 Ce qui lui vaut (tout au moins spirituellement), automatiquement une mort certaine avec pour conséquence un éloignement immédiat  de la face du Dieu de Lumière. Le Dieu qui ne souffre,  Lui, d’aucune souillure, tache ou impureté quelconque (1Jean 1 :5-7). 

Une marginalisation et errance que Caïn a pu le vivre dans son existence et dans sa chair après avoir  tué et retiré la vie à son frère Abel (Gen 4 :11).

La désobéissance à la Parole de Dieu, dans le but de poser un acte ou d’effectuer une action préjudiciable à un autre que soi, c’est-à-dire à son prochain,  propulse irrémédiablement chacun de nous sur une voie autre; un autre chemin que celui du Créateur ne pouvant conduire qu’à rejeter ce qui donne ou maintient la Vie pour une mort spirituelle de son âme (Deutéronome 30 :15).

A)    Dieu n'est pas un objet des savoirs humains mais un sujet d’adoration.

Sur le fondement de l'ordre divin  que reçut le Prophète-Pasteur Fondateur SBJ Oshoffa le 29 septembre 1947, deux cantiques révélés à la sainte Eglise venue des cieux recommandent aux fidèles de l'ECC  de toujours demander au Seigneur  premièrement « la sagesse d’Oshoffa afin de pouvoir mieux Le servir…et pour ne pas être victime de Satan » pour lui être agréable toute notre vie. En second lieu de se convaincre que dans cette Église « l’être humain n'a aucune force sur cette Église céleste ».

Ceci pour simplement dire que l'Eternel n'est pas un objet de savoirs des humains mais  plutôt  un sujet de son adoration.

Avant que les prophètes de l’ancien Testament ne rappellent en permanence les ordonnances,  préceptes et commandements de Dieu à Israël, c'est le roi David, qui, le premier,  s’est efforcé de nous faire prendre conscience du caractère insondable et immuable du mystère du Tout-puissant mais surtout, la puissance   intemporelle que recouvre sa Parole incarnée en Jésus-Christ son VERBE.

Dans le psaume 139 : 6, le roi David, après de nombreuses et multiples expériences en tant que pécheur et Roi d’Israël le peuple saint de Dieu dont il était en charge, est arrivé à la conclusion qu’avec Dieu   « une science merveilleuse est au-dessus de notre portée. Elle est trop élevée pour qu’on puisse la saisir ». 

Ce mot « science «  sera par la suite éclairé dans le psaume 19. Les versets 8 et 9  disposent en effet que la « la Loi de l’Eternel  est parfaite. Elle restaure l’âme. Le témoignage de l’Eternel est véritable, il rend sage l’ignorant. Les ordonnances de l’Eternel sont droites, elles réjouissent le cœur. Les commandements de l’Eternel sont purs ; ils éclairent  les yeux ».

Ces éléments sont donc de nature à pouvoir réconcilier aussi bien les tenants de la science dure qui pensent détenir des « vérités quasi infaillibles" ainsi que les tenants de la Sagesse à qui ces prétendues vérités sont à tort déniées (voir Jacques 3 :17).

Jusqu’à maintenant, il est dit qu'une « science sans conscience n’est que ruine de l’âme »(F. RABELAIS)

Or,  chacun peut observer que tous  ces écrits nous montrent clairement que les lois, préceptes et prescriptions sortis de la bouche de Dieu ( sous forme  d’ordonnances, de commandements ou d'interdits),  ont bien pour vocation unique et finalité  de sortir l'Homme des ténèbres afin que, par Jésus-Christ et le rachat de nos péchés qu’il a obtenus sur la croix, nous puissions jouir des bienfaits des promesses et de la Lumière que le Créateur nous redonne désormais pour lui appartenir à nouveau comme des enfants  sanctifiés.

B)    Dieu est Esprit 

Pour nous inciter à asseoir notre foi sur le Rocher Eternel, l’apôtre Pierre dit encore dans 1Pi 2 : 3-5  qu' il ne sert à rien pour les générations à venir , de continuer à confondre  ce que Dieu avait prescrit à nos Pères dans les anciens temps et ce qu’il nous propose  de nouveau par Jésus-Christ.

Car c’est le Seigneur Jésus-Christ,  qui, pour réconcilier toutes les générations (passées, présentes et futures) fait lui-même cette double révélation qui contribue au dévoilement de la Parole de Dieu cachée dans les saintes Écritures.

Aux païens qui prétendaient également adorer le Créateur des cieux et de la terre, Jésus déclare en Jean 4 : 22-24 : « vous adorez ce que vous ne connaissez pas, mais nous nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des juifs. Mais l'heure vient et elle est déjà venue où les vrais adorateurs adoreront  le Père en esprit et en vérité  car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l'adorent en Esprit et en vérité ».

De même à l’endroit des anciens religieux et autres  docteurs de la LOI de Moïse, Jésus, venu accomplir la Loi pour mettre fin à la première alliance que Dieu scella avec les hommes, dira à Nicodème « en vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l'Esprit est Esprit « (Jean  3 : 3-8).

D'où l’importance du baptême ; particulièrement le baptême de l’Esprit dans la Sainte Eglise venue des cieux aux fins de nouer ou établir une relation directe avec Dieu le Père Céleste et Jésus-Christ.

Approfondissant cette révélation en Jean 3,  Jésus ajoutera plus tard dans Luc 10 :22 : toutes choses m'ont été données par mon Père et personne ne connaît qui est le fils, si ce n’est le Père ni qui est le Père si ce n'est le fils  et celui à qui le fils veut le révéler ».

Celui qui ne connaît pas en notre Temps Jésus-Christ  « mystère dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colos 2 :3) de ce monde, le fils unique du Dieu vivant, son « VERBE « ou  « Dieu fait Homme », ne peut donc pas non plus connaître l’Eternel Dieu le Père ni avoir accès au chemin qui mène à Lui pour jouir des vertus, promesses et grâces qu'accorde le Saint-Esprit (Jean 14 : 18-23).

Deutéronome 29 :29 enseignait déjà à nos Pères que «  les choses cachées sont à l'Eternel  notre Dieu,  les choses révélées sont à nous et à nos enfants,  à perpétuité afin que nous mettions en pratique toutes ses paroles ". 

Sans dévoilement par Dieu lui-même ou ses envoyés de ce qui sort véritablement de sa bouche, il n'y a, à cause du péché qui entache la Lumière divine et enlève toute saveur à sa création, aucune chance pour les hommes sur terre  de connaître  le Dieu Créateur du ciel et de la terre, de pouvoir parler de Lui ou en son nom en vue de transmettre et de bien enseigner ses lois, préceptes et commandements ( voir LEVITIQUE 17 :10-14, Deutéronome 7 : 26). 

En somme, toute la science  et la sagesse infinie et inégalable qui accompagnent la volonté qu'il manifeste au travers de ses lois, préceptes et commandements.

La Parole de Dieu s’affirme ainsi  comme consubstantielle sinon indétachable de sa Volonté ; c’est-à-dire de tout ce qu’il ordonne, prescrit ou recommande à travers chacune des paroles sorties de sa bouche. 

Par leur  force opératoire, elles s'imposent aux hommes (par-delà les copies et falsifications des Nations) comme l' instrument de son Pouvoir mais aussi le fruit de sa Sagesse infinie et inégalable appelé à venir en aide et au secours de l’homme créé à son image ( Gen 1 :27).

C)     L’AMOUR le cœur de la Loi.

Que l’on prenne Deutéronome 6 : 4-5 ou encore Marc 12 : 29-31, il saute aux yeux, quels que soient le Temps ou l’époque, que la vocation première de la Parole de Dieu reste la même.

 Qu’elle garde le même fond et poursuit le même but : amener l’homme à accéder puis expérimenter dans ses relations avec Dieu lui-même puis avec son prochain, l’amour de Dieu pour tous les hommes : cœur de ses lois et interdits.

Des prescriptions qui leur donnent la vie ou leur procurent la Paix et le bien-être pour eux-mêmes et autour d’eux par l’interdiction qui leur est ainsi faite d'user entre eux de fraude, tromperie, ruse, méchanceté et violence dans leurs relations (cf : Exode 23 : 1-9).

En JÉRÉMIE 31 :27-33 et sous l’impulsion du Saint-Esprit, l’Eternel avait promis de rassembler par-delà Israël, son peuple dispersé aux quatre coins de la terre et de faire « une alliance nouvelle » différente de celle de nos Pères (Esaïe 43 :18-20). 

De nos jours, c'est désormais chose faite au travers de  l’invitation au repas du Seigneur Jésus-Christ ( Luc 14 : 15-24 et Math 22 :3) adressée à tous les hommes qui manifestent sur terre, le réel désir de revenir de leurs mauvaises voies pour redécouvrir la source première d'où chacun est sorti.

La promesse irréversible de Dieu, intimement attachée aux vertus de la GRÂCE  de notre appartenance désormais au troupeau de Jésus-Christ et aux bénédictions qu’Il nous réserve, reste encore conditionnée par l’obéissance et au respect  de ce qui fait toujours le cœur de la Loi et de l’amour de Dieu. Vertu dont la  caractéristique première est non seulement d'aimer profondément et sincèrement Dieu mais aussi ne causer également aucun tort ou préjudice à son prochain pour la paix et le bien-être de tous.

Avec la dernière barque descendue des cieux à travers la sainte Eglise venue des cieux  ( sous le règne et la Puissance du Saint-Esprit), l’Eternel réitère une dernière fois son appel à la REPENTANCE aux hommes de notre temps afin que par le biais de la SANCTIFICATION pour le SALUT et le pardon des péchés, chacun retrouve le seul  vrai chemin qui conduit à craindre le nom de Dieu pour n'adorer que Lui et Lui seul ( JÉRÉMIE 31 :33-34 et Apocalypse 3 : 10-13).

L’Esprit-Saint, qui se manifeste de nos jours puissamment un peu partout, ne fait alors que rendre témoignage à Jésus-Christ et de sa venue prochaine.

En prescrivant alors les 10 ordonnances et 12 interdits  à l’Eglise que Jésus Christ lui a confiée le 29 septembre 1947 sur « ordre divin «, le feu Prophète-Pasteur Fondateur SBJ Oshoffa (paix à son âme), inscrit en lettres d’or, la poursuite de son œuvre d’évangélisation encore et toujours sur les fondements de ce qui est sorti de la bouche de Dieu pour les hommes manifestant le réel désir de revenir à Lui.

Que l'on soit païen, idolâtre ou simplement religieux,  aucun homme ne peut, de lui-même,  trouver le chemin qui mène à Dieu sans passer par  Jésus-Christ.

Le Sauveur de l’humanité que Dieu nous présente lui-même dans les psaumes 2 ou 72 de notre liturgie au sujet du règne messianique de notre Seigneur Jésus-Christ.

Le seul et unique par qui, la GRÂCE, la VERITE et la Lumière  sur toutes choses nous sont désormais accessibles (Jean 1 : 17-18) . 

Le seul et unique intermédiaire qui,  toujours avec patience et douceur, nous ramène les uns les autres de nos mauvaises voies pour nous sauver. Nous redonner la Vie en ce jour de l’ascension en attendant le renouvellement de l’Esprit à la Pentecôte oû chacun sera moissonné (Apoc 14 : 12-16). Souvenons-nous alors  de ce qui dit la Parole de Dieu dans Romains 8 :9.

Que son nom soit magnifié, vénéré et béni d’âge en âge et de génération en génération pour le bonheur et la Paix de tous.


 Paris le 13 mai 2021

Suprême Évangéliste 

Marcel Claude D’ALMEIDA

E.C.C. Paroisse Autel de Vie de Drancy.


lundi 28 avril 2025

 𝐑E𝐂𝐎𝐍𝐂𝐈𝐋𝐈𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐃E𝐋𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐋'E𝐆𝐋𝐈𝐒𝐄 𝐃𝐔 𝐂𝐇𝐑𝐈𝐒𝐓𝐈𝐀𝐍𝐈𝐒𝐌𝐄 𝐂E𝐋𝐄𝐒𝐓𝐄 : 𝚅𝙴𝚁𝚂 𝚄𝙽 𝚅𝙰𝚂𝚃𝙴 𝙲𝙷𝙰𝙽𝚃𝙸𝙴𝚁 𝙿𝚁𝙾𝙼𝙴𝚃𝚃𝙴𝚄𝚁


𝗖𝐎𝐓𝐎𝐍𝐎𝐔, 𝟮𝟲 𝐀𝐕𝐑𝐈𝐋 𝟮𝟬𝟮𝟱


Un vent nouveau souffle sur l’Église du Christianisme Céleste (ECC). Dans un élan historique et inédit, les principales figures de cette communauté spirituelle se sont réunies au Palais des Congrès de Cotonou pour l’installation officielle du 𝐂𝐨𝐧𝐬𝐞𝐢𝐥 𝐒𝐮𝐩é𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 (𝐂𝐒𝐓). Ce moment solennel, plein de ferveur et d’espérance, scelle la volonté commune de tourner la page des divisions qui, pendant plus d’une décennie, ont fragilisé le corps ecclésial céleste.


Cette initiative de haute portée spirituelle et institutionnelle a été impulsée par 𝗦𝗘𝗠 𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗔𝘁𝗵𝗮𝗻𝗮𝘀𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗹𝗹𝗮𝘂𝗺𝗲 𝗧𝗔𝗟𝗢𝗡, Président de la République du Bénin, avec le soutien spirituel des Révérends Pasteurs 𝗕𝗲𝗻𝗼î𝘁 𝗕𝗲𝗻𝗲𝘁𝘁 𝗔. 𝗔𝗗𝗘𝗢𝗚𝗢𝗨𝗡 et 𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆 𝗠. 𝗢𝗦𝗛𝗢𝗙𝗙𝗔.


Conscient de l’impact des divisions internes sur la cohésion des fidèles, le Chef de l’État a répondu à l’appel de paix lancé par plusieurs voix influentes de la jeunesse céleste et des dignitaires lassés des querelles fratricides : 𝖽𝗂𝗏𝖾𝗋𝗀𝖾𝗇𝖼𝖾𝗌 𝖽𝗈𝖼𝗍𝗋𝗂𝗇𝖺𝗅𝖾𝗌, 𝗅𝗎𝗍𝗍𝖾𝗌 𝖽𝖾 𝗅𝖾𝖺𝖽𝖾𝗋𝗌𝗁𝗂𝗉 𝖾𝗇𝗍𝗋𝖾 𝗅𝖾𝗌 𝗌𝗂è𝗀𝖾𝗌 𝖽𝗎 Nigeria 𝖾𝗍 𝖽𝖾 𝖯𝗈𝗋𝗍𝗈-𝖭𝗈𝗏𝗈, 𝗆𝖺𝗇𝗂𝗉𝗎𝗅𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇𝗌 𝗆é𝖽𝗂𝖺𝗍𝗂𝗊𝗎𝖾𝗌 𝖾𝗍 𝗀𝗎𝖾𝗋𝗋𝖾𝗌 𝖽𝖾 𝗃𝗎𝗋𝗂𝖽𝗂𝖼𝗍𝗂𝗈𝗇𝗌 𝗇é𝖼𝖾𝗌𝗌𝗂𝗍𝖺𝗇𝗍 𝗅’𝗎𝗋𝗀𝖾𝗇𝖼𝖾 𝖽𝖾 𝗋𝖾𝗌𝗍𝖺𝗎𝗋𝖾𝗋 𝗅’𝗁𝖺𝗋𝗆𝗈𝗇𝗂𝖾 𝖺𝗎 𝗌𝖾𝗂𝗇 𝖽’𝗎𝗇𝖾 E𝗀𝗅𝗂𝗌𝖾 𝗊𝗎𝗂 𝗋𝖺𝗒𝗈𝗇𝗇𝖾 𝖻𝗂𝖾𝗇 𝖺𝗎-𝖽𝖾𝗅à 𝖽𝖾𝗌 𝖿𝗋𝗈𝗇𝗍𝗂è𝗋𝖾𝗌 𝗇𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇𝖺𝗅𝖾𝗌.

Le tissu spirituel, autrefois uni par la vision du Prophète Fondateur 𝗦𝗮𝗺𝘂𝗲𝗹 𝗕𝗶𝗹𝗲𝗼𝘂 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗢𝗦𝗛𝗢𝗙𝗙𝗔, semblait irréversiblement fissuré.

Face à ce climat délétère, la jeunesse de l’Église et quelques aînés ont décidé de briser le silence. 𝗨𝗿𝗯𝗮𝗶𝗻 𝗔𝗞𝗔𝗞𝗣𝗢, 𝗥𝗼𝗺𝗮𝗿𝗶𝗼 𝗔𝗪𝗔𝗗𝗜𝗗𝗔, 𝗚o𝗱s𝗼𝗻 𝗠𝗢𝗡𝗡𝗢𝗨, 𝗚𝘂𝗶𝗹𝗹𝗮𝘂𝗺𝗲 𝗔𝗛𝗢𝗨𝗔𝗡𝗗𝗝𝗜𝗡𝗢𝗨(𝗚𝘂𝘆 𝗧𝗼𝘀𝘀𝗶𝗻), 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗘𝘂𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗘𝗪𝗔𝗕𝗢, 𝗦𝗮𝗺𝘂𝗲𝗹 𝗛𝗢𝗨𝗡𝗗𝗝𝗢, 𝗙𝗶𝗱è𝗹𝗲 𝗧𝗘𝗕𝗘(𝗢𝘀𝗵𝗼𝗳𝗳𝗮@𝗳𝗶𝗹𝘀), 𝗔𝗯𝗮𝘀𝘀𝗶 𝗙𝗔𝗬-𝗦𝗢𝗟𝗛(𝗔𝗯𝗮𝘀𝘀), 𝗛𝗼𝗻𝗼𝗿𝗮𝘁 𝗛𝗢𝗨𝗡𝗞𝗣𝗔𝗧𝗜𝗡 𝗲𝘁 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗱'𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀...( 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬, é𝐜𝐫𝐢𝐯𝐚𝐢𝐧𝐬, 𝐜𝐫𝐨𝐲𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠é𝐬 ) ont haussé le ton, dénonçant les querelles intestines et appelant avec insistance au retour de l’unité même si les méthodes de dénonciations étaient différentes. 

À travers des tribunes percutantes, des interventions médiatiques et une campagne virale sur les réseaux sociaux, ces voix ont réveillé les consciences. Leur cri du cœur a porté, touchant le cœur de plusieurs hauts dignitaires de l’Église, dont les 𝗣𝗮𝘀𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗟𝗔𝗖𝗛𝗜𝗠𝗜, 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗩𝗜𝗡𝗔𝗞𝗢𝗨, le 𝗩é𝗻é𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗰𝗲𝗹𝗹𝗶𝗻 𝗭𝗔𝗡𝗡𝗢𝗨, parmi d'autres qui ont commencé à prêcher ouvertement pour la réconciliation.

Sensible à la souffrance de cette communauté profondément enracinée dans l’histoire du Bénin, le Président TALON a décidé d’agir. 

Par l'entremise du 𝗩é𝗻é𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗦𝘂𝗽𝗿ê𝗺𝗲 Ev𝗮𝗻𝗴é𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗕𝗲𝗿𝘁𝗶𝗻 𝗕𝗔𝗗𝗔 de la 𝐂𝐚𝐭𝐡é𝐝𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐌𝐨𝐧𝐭 Sinaï 𝐂𝐚𝐥𝐚𝐯𝐢 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞, Général de Division Aérienne et Chef de Cabinet Militaire du Président de la République, la volonté d’unir les cœurs et les esprits s’est matérialisée. Le Chef de l’État a convoqué en urgence une rencontre déterminante le 𝟐𝟎 𝐟é𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚𝐮 𝐏𝐚𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐧𝐚. 

Y étaient conviés les principaux leaders célestes venus du Bénin, du Nigéria et de la Côte d’Ivoire. Cette réunion, inédite de par sa portée et son ambition, a jeté les bases d’un processus de réconciliation inédit. Dans cette dynamique, le Chef de l’État va alors mettre en place un comité préparatoire composé de 𝗵𝘂𝗶𝘁 (𝟴) 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 dirigé par lui-même. Ce comité s’élargira par la suite.

Le 𝟗 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥 𝟐𝟎𝟐𝟓, le Chef de l’État a franchi une nouvelle étape symbolique en se rendant successivement aux domiciles des Révérends Pasteurs 𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆 𝗠. 𝗢𝗦𝗛𝗢𝗙𝗙𝗔 et 𝗕𝗲𝗻𝗼ît 𝗕𝗲𝗻𝗲𝘁𝘁 𝗔. 𝗔𝗗𝗘𝗢𝗚𝗢𝗨𝗡 à Porto-Novo. 

Ces visites ont été accueillies comme un signe divin par les fidèles et ont scellé l’amorce d’un processus de reconstruction, et la naissance du 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗦𝘂𝗽é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗖𝗦𝗧) composé de 𝗾𝘂𝗶𝗻𝘇𝗲 (𝟭𝟱) 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, intégrant les différentes sensibilités de l’ECC. Il ne s’agissait plus seulement de paix, mais de renaissance.

Le 26 avril, le 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗦𝘂𝗽é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗖𝗦𝗧) a été officiellement installé. Il repose sur une double ossature :  

- 𝐋𝐞 𝐒𝐚𝐜𝐫é 𝐂𝐨𝐥𝐥è𝐠𝐞, co-dirigé par les Révérends Pasteurs 𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆 𝗠. 𝗢𝗦𝗛𝗢𝗙𝗙𝗔 (Nigéria) et  𝗕𝗲𝗻𝗼î𝘁 𝗕𝗲𝗻𝗲𝘁𝘁 𝗔. 𝗔𝗗𝗘𝗢𝗚𝗢𝗨𝗡 (Bénin).

- 𝐋𝐞 𝐒𝐞𝐜𝐫é𝐭𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐄𝐱é𝐜𝐮𝐭𝐢𝐟, chargé de la coordination administrative et de la mise en œuvre des décisions stratégiques.

Doté d’un mandat d’un an maximum, le 𝐂𝐒𝐓 est investi d’une mission claire :  

- Relire et réviser les textes fondateurs de l’Église.  

- Uniformiser les rites liturgiques.  

- Réorganiser la hiérarchie cléricale.  

- Harmoniser la gestion financière et administrative.  

- Recenser les lieux saints et pèlerinages pour une meilleure exploitation.


A 𝗻𝗼𝘁𝗲𝗿 : Le 𝐝𝐨𝐠𝐦𝐞 de l’Église demeure inchangé.

La composition du Conseil reflète un équilibre délicat mais déterminant :

- 𝟮 𝗥é𝘃é𝗿𝗲𝗻𝗱𝘀 𝗣𝗮𝘀𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 : Emmanuel Friday M. OSHOFFA (Nigéria), Benoît Benett A. ADEOGOUN (Bénin)  

- 𝟰 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗕é𝗻𝗶𝗻, incluant un ancien opposant au siège de Porto-Novo  

- 𝟱 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗡𝗶𝗴é𝗿𝗶𝗮, dont un ex-opposant à Imèko  

- 𝟮 𝗿𝗲𝗽𝗿é𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖ô𝘁𝗲 𝗱’𝗜𝘃𝗼𝗶𝗿𝗲 

- 𝟭 𝗿𝗲𝗽𝗿é𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼 

- 𝟭 𝗿𝗲𝗽𝗿é𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗱é𝘀𝗶𝗴𝗻é 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗣𝗿é𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥é𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗿é𝘀𝗼𝗿𝗲𝗿𝗶𝗲.


À cela s’ajoutent 𝟱 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, chacune pilotée par un membre du CST. 

Fait notable, 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗿é𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗻𝘁 été 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶é𝗲𝘀 à 𝗹𝗮 𝗖ô𝘁𝗲 𝗱’𝗜𝘃𝗼𝗶𝗿𝗲, signe de la dimension panafricaine de cette Église. Toutes les décisions majeures devront recevoir l’approbation conjointe des deux Révérends Pasteurs.

L’heure est venue pour chaque fidèle de se recueillir, de pardonner et de s’engager activement dans cette dynamique de réconciliation.

Fondée le 𝟮𝟵 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟭𝟵𝟰𝟳, le PPF 𝐒𝐚𝐦𝐮𝐞𝐥 𝐁𝐢𝐥𝐞𝐨𝐮 𝐉𝐨𝐬𝐞𝐩𝐡 𝐎𝐒𝐇𝐎𝐅𝐅𝐀, paix à son âme, avait semé les graines d’une Église universelle, spirituelle et fraternelle. Le 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗦𝘂𝗽é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 incarne cette vision dans un contexte renouvelé.

Mais cette œuvre, aussi noble soit-elle, ne portera ses fruits que si chacun fait preuve de vigilance, de prière et de responsabilité. Il ne s’agit pas d’un simple apaisement, mais d’un 𝐫𝐞𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐞𝐜𝐜𝐥é𝐢𝐚𝐥 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐨𝐧𝐝, pour que l’Église du Christianisme Céleste retrouve son éclat spirituel et sa force d’impact dans le monde.

Dans son discours de gravité et d’espérance, le Président 𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗧𝗔𝗟𝗢𝗡 a réaffirmé son attachement indéfectible à l’unité de l’Église. Selon lui, cette réunification est essentielle pour préserver ce patrimoine religieux béninois et africain, en l’élevant au rang d’héritage universel. Le Chef de l’État a rappelé la prophétie du fondateur SBJ OSHOFFA, annonçant qu’à un moment déterminé, Dieu susciterait des acteurs pour organiser et développer l’Église. Selon plusieurs, cette prophétie trouve aujourd'hui son accomplissement.

𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗧𝗔𝗟𝗢𝗡 s’est engagé à accompagner de près le 𝗖𝗦𝗧 dans sa mission, notamment dans la révision de la Constitution de l’Église et la consolidation de ses fondements. Il a également lancé un vibrant appel à toutes les communautés religieuses, invitant les fidèles à soutenir spirituellement le 𝗖𝗦𝗧 par des prières régulières, en particulier lors des cultes dominicaux.

La cérémonie d’installation du CST a rassemblé un large éventail de personnalités : membres du gouvernement tels que le Ministre d'État, Secrétaire Général de la Présidence 𝗣𝗮𝘀𝗰𝗮𝗹 𝗜𝗿e𝗻é 𝗞𝗢𝗨𝗣𝗔𝗞𝗜, le Porte-parole du Gouvernement 𝗪𝗶𝗹𝗳𝗿𝗶𝗲𝗱 𝗟é𝗮𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗛𝗢𝗨𝗡𝗚𝗕𝗘𝗗𝗝𝗜, les ministres ( 𝗬𝘃𝗼𝗻 𝗗𝗘𝗧𝗖𝗛𝗘𝗡𝗢𝗨, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et de la Législation, 𝗔𝗹𝗮𝘀𝘀𝗮𝗻𝗲 𝗦𝗘Ï𝗗𝗢𝗨, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, ainsi que 𝗕𝗮𝗯𝗮𝗹𝗼𝗹𝗮 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗠𝗶𝗰𝗵𝗲𝗹 𝗛𝗲𝗿𝘃é 𝗔𝗕𝗜𝗠𝗕𝗢𝗟𝗔, Ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts), le Préfet du Littoral 𝗔𝗹𝗮𝗶𝗻 𝗢𝗥𝗢𝗨𝗡𝗟𝗔, ainsi que plusieurs autres cadres, autorités religieuses et civiles, hauts dignitaires ecclésiastiques venus d’Afrique et d’autres continents, y compris des milliers de fidèles émus d’assister à ce moment historique.  

Un signe du ciel est venu ponctuer la fin de la cérémonie avec une pluie légère, perçue par les participants comme une bénédiction divine, avant qu’un concert live n’illustre la joie et la réconciliation retrouvées.

Présent lors de cette installation historique, votre label journalistique 𝗔𝗠𝗥 𝗟𝗮 𝗚𝗹𝗼𝗶𝗿𝗲, observateur fidèle des réalités célestes, poursuivra sa mission d’information avec intégrité. Très prochainement, nos propositions concrètes pour une gouvernance transparente et efficace parviendront au CST.

En attendant, découvrez ci-dessous les 𝟭𝟱 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 du 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗦𝘂𝗽é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗖𝗦𝗧) de l'ECC dont le siège est situé dans la zone 𝗖𝗡𝗦𝗔𝗗, derrière l'hôtel  𝗡𝗼𝘃𝗼𝘁𝗲𝗹 à 𝗖𝗼𝘁𝗼𝗻𝗼𝘂 :


1. Révérend Benoît Benett A. ADEOGOUN (𝐁é𝐧𝐢𝐧). 

2. Révérend Emmanuel Friday M. OSHOFFA  (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚)

3. Justin Kouame ACKA (𝐂ô𝐭𝐞-𝐝’𝐈𝐯𝐨𝐢𝐫𝐞)

4. Monlouole ADJAHO (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚)

5. André AMOUSSOU (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚)

6. Rodrigue CHABI (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚)

7. Noël DJOSSOU (𝐁é𝐧𝐢𝐧)

8. Jean Sènou KOKOYE (𝐁é𝐧𝐢𝐧)

9. Comlan MIDODJI (𝐓𝐨𝐠𝐨)

10. Tosho OSCHOFFA (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚). 

11. Hyacinthe SARASSORO (𝐂ô𝐭𝐞-𝐝’𝐈𝐯𝐨𝐢𝐫𝐞). 

12. Gabriel SOUMAHO (𝐁é𝐧𝐢𝐧)

13. Marcellin ZANNOU (𝐁é𝐧𝐢𝐧)

14. Franck OGOUYELEGBE (𝐍𝐢𝐠é𝐫𝐢𝐚)

15. Bertin BADA (𝐑𝐞𝐩𝐫é𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐏𝐫é𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑é𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞).


𝚀𝚞𝚎 𝚕𝚎 𝙳𝚒𝚎𝚞 𝚍𝚞 𝙿𝚛𝚘𝚙𝚑è𝚝𝚎 𝚂𝙱𝙹 𝙾𝚂𝙷𝙾𝙵𝙵𝙰, éc𝚕𝚊𝚒𝚛𝚎 𝚕𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝚖𝚎𝚖𝚋𝚛𝚎𝚜 𝚍𝚞 𝙲𝚂𝚃 𝚎𝚝 𝚋é𝚗𝚒𝚜𝚜𝚎 𝚌𝚎𝚝𝚝𝚎 œ𝚞𝚟𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚛é𝚌𝚘𝚗𝚌𝚒𝚕𝚒𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗.


𝗥𝗼𝗺𝗮𝗿𝗶𝗼 𝗔𝗪𝗔𝗗𝗜𝗗𝗔

𝑱𝒐𝒖𝒓𝒏𝒂𝒍𝒊𝒔𝒕𝒆, 𝑪𝒐𝒎𝒎𝒖𝒏𝒊𝒄𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓

ℙ𝕣𝕠𝕞𝕠𝕥𝕖𝕦𝕣 𝕕𝕖 𝗔𝗠𝗥 𝗟𝗮 𝗚𝗹𝗼𝗶𝗿𝗲

𝔽𝕚𝕕𝕖̀𝕝𝕖 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝗖𝗮𝘁𝗵é𝗱𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗠𝗼𝗻𝘁 𝗦𝗶𝗻𝗮ï 𝗖𝗮𝗹𝗮𝘃𝗶 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲

𝕋é𝕝: (+229) 01 96 79 59 66


mardi 25 février 2025

Textes Bibliques 2025

 Bible Lessons 2025

Saint Siège - Porto-Novo - Bénin

Siège Mondial - Imeko - Nigeria  


RENCONTRE DES HAUTS DIGNITAIRES DE L'ÉGLISE DU CHRISTIANISME CÉLESTE A LA PRÉSIDENCE DU BÉNIN

RENCONTRE DES HAUTS DIGNITAIRES DE L'ÉGLISE DU CHRISTIANISME CÉLESTE A LA PRÉSIDENCE DU BÉNIN 

Le Jeudi 20 Février 2025 le Président de la République du Bénin, son Excellence Patrice TALON a reçu une délégation des hauts dignitaires de l'Eglise du Christianisme Céleste du Bénin, du Nigéria et de la Côte d'Ivoire en audience.

Voici ce qu'il en ressort tel que rendu public par les différents médias :

1) Le site du Gouvernement béninois :

"Dans le cadre d’une visite de travail qu’elle effectue au Bénin, et sur invitation du Chef de l'État béninois, une délégation de la Haute hiérarchie de l'Église du Christianisme Céleste (ECC) du Bénin, de la Côte d'Ivoire et du Nigéria a été reçue, ce jeudi 20 février 2025 au Palais de la Marina, par le Président de la République, Monsieur Patrice TALON. L'audience qui s'est déroulée en présence des Ministres Alassane SEIDOU de l'Intérieur et de la Sécurité Publique, Yvon DETCHENOU de la Justice et de la Législation, Jean-Michel ABIMBOLA du Tourisme, de la Culture et des Arts et du Directeur du Cabinet Militaire du Président de la République, le Général de Division aérienne Bertin BADA a permis d'aborder des questions essentielles relatives à la vie de l'église et à son unification. .

Lire ici la suite 

2) Le Communiqué conjoint des délégations de l'ECC :

Lire ici le communiqué 

https://www.facebook.com/share/v/1E4PEH3scx/?mibextid=wwXIfr

Que DIEU du Révérend Pasteur Fondateur SBJ OSCHOFFA fasse l'unité selon sa volonté.

Que la Paix soit toujours pour son Église.