jeudi 3 juin 2021

Paroles de Dieu… paroles de vie

Paroles de Dieu… paroles de vie


( Petit bréviaire à l'attention du nouveau fidèle accueilli à la Paroisse Autel de Vie de  Drancy).


La Parole sortie de la bouche de Dieu à  l’origine de la CRÉATION, peut-elle se réduire en objet de savoirs et connaissances des humains ?

Aux heures du  doute et de mise à l’épreuve de ses disciples, Jésus-Christ leur dit : « que servirait-il à un homme de gagner tout le monde s'il perdait son âme ou que donnerait un homme en échange de son âme » ? (Math 16 :26).
Notre monde d’aujourd’hui,  repose aveuglément sur des concepts philosophiques et autres théories qui contestent ou réduisent à néant l’existence même du Dieu Créateur. Une posture idéologique qui avait déjà conduit le nihiliste NIETZSCH, dans son embarras, à concéder que si (en Occident) Dieu est donc mort… » que chacun s’efforce alors de vivre au-delà du bien et du mal".
Toute la question est de savoir, qui, finalement, a cette capacité intellectuelle ou force intérieure de ne croire en rien sans faire du tort ou du mal à son prochain  ?
De nos jours et autour de nous, tout ce qui n'est pas rationnel (même pour nous qui sommes les héritiers culturels d’anciens et vieux peuples de l'oralité), parait encore suspect, injustifiable, stupide, sans fondement donc sans logique. Pourtant, Dieu et Jésus Christ ne sont nullement des inventions d’homme.
DIEU EST OMNISCIENT ET ETERNEL.
« Mon peuple périt et meurt faute de connaissances » relevait déjà le prophète OSEE (4 :6) à l’endroit d’Israël. Pour compenser cela, le Patriarche Job nous invite encore à « interroger les générations passées »(8 :8-10) afin de savoir si Dieu est toujours le même, c’est-à-dire ETERNEL et Maître du temps. S'Il existe véritablement ?
Car, pour nous, c'est bien de sa « bouche que sort la VERITE sur toutes les choses de la terre  (Prov 8 : 8-9) sans oublier qu'« Il est encore fidèle et se rappelle à toujours son alliance, ses promesses pour mille générations » (Ps 105 : 3 et 8).
En ces temps  de panique, d’inquiétude, d’incertitude et de manque de confiance dus à  la pandémie du covid-19 (virus qui continue de faire des vagues, provoquant des centaines de milliers de morts de par le monde), sur quoi reposent en fait aujourd’hui, notre foi et la garantie des promesses ainsi que nos certitudes en l’Eternel, en attendant la fin des temps prophétiques annoncée (Daniel  9 :26 et Apocalypse 22 :10-15) ?
Dans l’ancien Testament, trois temps prescrits en fêtes à Israël (Levith23) ont déjà trouvé leur plein accomplissement et concordance dans le nouveau Testament. A savoir : Pâques ou crucifixion du Christ (fête des semaines), sa mort et sa résurrection (fête des prémices) enfin, la Pentecôte ou fête des moissons avec promesse d'expansion et effusion du Saint-Esprit ( Joël 2 :28  Actes 2 ) encore appelé dans la bible « Esprit de Vérité « , Conducteur ou Consolateur.  
Ainsi, depuis plus de 2.000 ans,  tous ces événements ont déjà été accomplis. Et nous avons encore (apparemment), du mal à savoir ce que Dieu promet à notre époque, en notre temps aux hommes de notre génération.  
N'en déplaise aux nombreux combattants de la « laïcité » ou aux  défenseurs des droits fondamentaux de l'HOMME.

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Des événements de la bible dont nous venons de parler, seul un « entre-deux", souvent escamoté et sur lequel  Daniel (7 : 13-14) et Jésus-Christ lui-même ( Jean 14 et  20 :17-18) se sont largement appesantis, reste et demeure énigmatique avec tout son mystère et ses promesses.  
Il s’agit bien de l’ascension de notre Seigneur Jésus-Christ  vers son Père conformément au plan arrêté par l’Eternel lui-même. Le jour oû, il est monté  « en chair et en os » devant ses disciples pour arriver devant son Père souligne bien le prophète Daniel.
On ne peut donc apprécier les vertus fascinantes, fécondes, déstabilisantes et cachées derrière les Paroles sorties de la bouche de Dieu, sans préalablement tenter de souscrire à cette quête ou exercice d’introspection et de recherche de la VOIE que l’apôtre Pierre nous propose.
Quiconque cherche à se rapprocher véritablement de Dieu, doit, dit-il, d’abord commencer par apprendre à « rejeter toutes les formes de méchanceté, toute ruse, violence, dissimulation et médisance » enfouies dans notre inconscient comme le recommandait à nos Pères Levith 24 :10-22. Autrement dit, commencer par  rompre définitivement avec les rouages de tout ce qui participe, nourrit ou conduit au péché (Galates 4 : 15-22).
Ensuite, chercher à « désirer comme des enfants nouveau-nés  le lait spirituel et pur" avant de prétendre enfin, s’approcher  «  de la pierre vivante rejetée par les hommes » ( 1Pi 2 : 1-9). A savoir Jésus-Christ le Rédempteur et Sauveur de tous les hommes.
Est-ce bien, en toute honnêteté et franchise, avant ou après le baptême, le cheminement que chacun de nous emprunte ou suit aujourd’hui dans l’ECC ?
L’Eglise est le seul lieu ou l’occasion qui nous est offerte par Dieu lui-même de faire sa rencontre pour entendre sa voix afin de nous libérer de notre « esclavage  » et vivre en espérance, la promesse du salut. Mais une fois après avoir appris ou fait la découverte de sa Parole, ses promesses et ses merveilles.
Proverbes 3 : 13-15  proclame à cet effet  :  « Heureux l’homme qui a trouvé la Sagesse et l’homme qui possède l’intelligence. Car le gain qu’elle procure est préférable à celui  de l’argent, et le profit qu'on en tire vaut mieux que l'or. Elle es plus précieuse que les perles. Elle a plus de valeur que tous les objets de prix ». Il s’agit bien entendu de la « sagesse céleste » à  ne jamais confondre avec celle des hommes « qui est terrestre, charnelle et diabolique »(Jacq 3 : 17).
Il nous faut donc nécessairement acquérir une vraie  intelligence et faire preuve de sagesse, pour être en capacité de parler de Dieu, connaitre ses voies avant de pouvoir comprendre tout ce qui concerne son univers. Celui qui nous permettra d'apprendre à faire sa volonté par la même occasion.
Et c'est bien ce témoignage de la recherche du chemin de la connaissance qui mène à Dieu, que Moïse donne dans les saintes Écritures.
Dans une de ses conversations avec son Créateur et Maître, l’Elu et premier prophète missionné de Dieu dit : « maintenant,  si j'ai effectivement trouvé grâce à tes yeux, fais moi connaître tes voies, alors je te connaitrai et je trouverai encore grâce à tes yeux"(Exode 33 :13).
Pourquoi nos Pères de l’ancien Testament, avaient-ils eu tant de mal à saisir comment faire la volonté de l’Éternel ou à  mettre simplement en pratique ses ordonnances, prescriptions et commandements ? Notre génération fait-elle mieux ou continue t-elle  à reproduire les mêmes schémas en suivant les mêmes travers ?

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A l'instar de ce que chaque apôtre a contribué à apporter à la mission d’évangélisation du Christ, nous sommes plus que redevables à l’apôtre Jean, d’avoir mis en exergue (Jean 1 : 1-19)  le caractère intemporel et intrinsèque qui  lie les « LOIS de Moïse, la GRÂCE et la VERITE venues par JÉSUS-CHRIST », comme venant de la même source ; ainsi que toute la miséricorde attachée à cette Grâce qui accompagne  désormais le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ par lequel, Dieu,  « sanctifiait déjà Israël sur son Autel » (Levith 17 :11) par le sang.
Un sacrifice qui règle une fois pour de bon le contentieux du péché originel entre Dieu et le diable ; faisant désormais de la « Grâce » et du pardon des péchés, les nouvelles prescriptions et normes d’élection entre  « ceux qui croient pour être sauvés »( Marc 16 :16) et tous les autres.
Le « au commencement était la Parole,  la Parole était avec Dieu, la Parole était Dieu » rattache donc très clairement cet évangile au livre de la Genèse.  
Il montre par la même occasion que l’apôtre a voulu nous faire toucher du doigt combien il est impossible à l'Homme de chair ou aux gens du monde, de connaître véritablement le Créateur ou le chemin qui mène à Lui sans que Dieu lui-même n'intervienne, ne se manifeste ou ne se dévoile ( Gen 29 :29 et 2Pi 1 :20).
De quoi comprendre à ce jour, les confusions encore entretenues au sujet de la connaissance et adoration de  Dieu par les adeptes des religions traditionnelles de nos pères en Afrique.
En laissant de côté tout ce que nous avons appris sur la création dans le livre de la Genèse, l’expression « Faisons l’homme à notre image et selon notre ressemblance (Gen 1 :26) est déjà en soi un indice fort sinon la preuve incontestable du bon vouloir du Créateur et de la décision qu’il a prise seul, de « souffler dans les narines de l’homme pris de la terre un souffle de vie pour que l’homme devint une âme vivante (Gen 2 :7) au sixième jour de la Création.
A ce désir du don de la vie, il faut immédiatement encore ajouter une autre prescription divine sous la forme d'interdit formel; « tu pourras manger de tous les arbres du jardin mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal,  car le jour oû tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 : 16-17).
De cet arsenal législatif primitif du Créateur, écrit originellement dans le cœur de l'HOMME ADAM  (Rom 1 : 20-23 bien avant les  10 commandements remis à Moïse ), il résulte que quiconque n’obéit pas à la Parole de Dieu, transgresse la loi et prend ainsi le risque d’ouvrir la porte de son cœur à l’obscurité, aux forces du mal et des ténèbres.
Quiconque désobéit à Dieu,  attire aujourd’hui encore sur sa tête, les foudres de la sanction divine prévues à cet effet pour avoir fait entrer le mal, c’est-à-dire le péché dans sa vie ; rendant son CŒUR esclave des agissements et ruses de l’ennemi des âmes.
Ce qui lui vaut (tout au moins spirituellement), automatiquement une mort certaine avec pour conséquence un éloignement immédiat  de la face du Dieu de Lumière. Le Dieu qui ne souffre,  Lui, d’aucune souillure, tache ou impureté quelconque (1Jean 1 :5-7).  
Une marginalisation et errance que Caïn a pu le vivre dans son existence et dans sa chair après avoir  tué et retiré la vie à son frère Abel (Gen 4 :11).
La désobéissance à la Parole de Dieu, dans le but de poser un acte ou d’effectuer une action préjudiciable à un autre que soi, c’est-à-dire à son prochain,  propulse irrémédiablement chacun de nous sur une voie autre; un autre chemin que celui du Créateur ne pouvant conduire qu’à rejeter ce qui donne ou maintient la Vie pour une mort spirituelle de son âme (Deutéronome 30 :15).

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  • A) Dieu n'est pas un objet des savoirs humains mais un sujet d’adoration.
Sur le fondement de l'ordre divin  que reçut le Prophète-Pasteur Fondateur SBJ Oshoffa le 29 septembre 1947, deux cantiques révélés à la sainte Eglise venue des cieux recommandent aux fidèles de l'ECC  de toujours demander au Seigneur  premièrement « la sagesse d’Oshoffa afin de pouvoir mieux Le servir…et pour ne pas être victime de Satan » pour lui être agréable toute notre vie. En second lieu de se convaincre que dans cette Église « l’être humain n'a aucune force sur cette Église céleste ».
Ceci pour simplement dire que l'Eternel n'est pas un objet de savoirs des humains mais  plutôt  un sujet de leur adoration.  
Avant que les prophètes de l’ancien Testament ne rappellent en permanence les ordonnances,  préceptes et commandements de Dieu à Israël, c'est le roi David, qui, le premier,  s’est efforcé de nous faire prendre conscience du caractère insondable et immuable du mystère du Tout-puissant mais surtout, la puissance   intemporelle que recouvre sa Parole incarnée en Jésus-Christ son VERBE.
Dans le psaume 139 : 6, le roi David, après de nombreuses et multiples expériences en tant que pécheur et Roi d’Israël le peuple saint de Dieu dont il était en charge, est arrivé à la conclusion qu’avec Dieu   « une science merveilleuse est au-dessus de notre portée. Elle est trop élevée pour qu’on puisse la saisir ».
Ce mot « science «  sera par la suite éclairé dans le psaume 19. Les versets 8 et 9  disposent que la « la Loi de l’Eternel  est parfaite. Elle restaure l’âme. Le témoignage de l’Eternel est véritable, il rend sage l’ignorant. Les ordonnances de l’Eternel sont droites, elles réjouissent le cœur. Les commandements de l’Eternel sont purs ; ils éclairent  les yeux ».
Ces éléments sont donc de nature à pouvoir réconcilier aussi bien les tenants de la science dure qui pensent détenir des « vérités quasi infaillibles" ainsi que les tenants de la Sagesse à qui ces prétendues vérités sont à tort déniées (voir Jacques 3 :17).
Jusqu’à maintenant, il est dit qu'une « science sans conscience n’est que ruine de l’âme »(F. RABELAIS)
Or,  chacun peut observer que ces écrits nous montrent clairement que toutes les lois, préceptes et prescriptions sortis de la bouche de Dieu ( sous forme  d’ordonnances, de commandements ou d'interdits),  ont bien pour vocation unique et finalité de sortir l'Homme des ténèbres afin que, par Jésus-Christ et le rachat de nos péchés qu’il a obtenus sur la croix, nous puissions jouir des bienfaits des promesses et de la Lumière que le Créateur nous redonne désormais pour lui appartenir à nouveau comme des enfants  sanctifiés.
  • B) Dieu est Esprit  
Pour nous inciter à asseoir notre foi sur le Rocher Eternel, l’apôtre Pierre dit encore dans 1Pi 2 : 3-5  qu' il ne sert à rien pour les générations à venir , de continuer à confondre  ce que Dieu avait prescrit à nos Pères dans les anciens temps et ce qu’il nous propose  de nouveau par Jésus-Christ.
Car c’est le Seigneur Jésus-Christ,  qui, pour réconcilier toutes les générations (passées, présentes et futures) fait lui-même cette double révélation qui contribue au dévoilement de la Parole de Dieu cachée dans les saintes Écritures.
Aux païens qui prétendaient également adorer le Créateur des cieux et de la terre, Jésus déclare en Jean 4 : 22-24 : « vous adorez ce que vous ne connaissez pas, nous adorons ce que nous

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connaissons, car le salut vient des juifs. Mais l'heure vient et elle est déjà venue où les vrais adorateurs adoreront  le Père en esprit et en vérité  car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l'adorent en Esprit et en vérité ».
De même à l’endroit des anciens religieux et autres  docteurs de la LOI de Moïse, Jésus, venu accomplir la Loi pour mettre fin à la première alliance que Dieu scella avec les hommes, dira à Nicodème « en vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l'Esprit est Esprit « (Jean  3 : 3-8).
D'où l’importance du baptême ; particulièrement le baptême de l’Esprit dans la Sainte Eglise venue des cieux aux fins de nouer ou établir une relation directe avec Dieu le Père Céleste et Jésus-Christ.
Approfondissant cette révélation en Jean 3,  Jésus ajoutera plus tard dans Luc 10 :22 : toutes choses m'ont été données par mon Père et personne ne connaît qui est le fils, si ce n’est le Père ni qui est le Père si ce n'est le fils  et celui à qui le fils veut le révéler ».
Qui ne connaît pas en notre Temps Jésus-Christ  « mystère dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colos 2 :3) de ce monde, le fils unique du Dieu vivant, son « VERBE « ou  « Dieu fait Homme », ne peut donc pas non plus connaître l’Eternel Dieu le Père ni avoir accès au chemin qui mène à Lui pour jouir des vertus, promesses et grâces qu'accorde le Saint-Esprit (Jean 14 : 18-23).
Deutéronome 29 :29 enseignait déjà à nos Pères que «  les choses cachées sont à l'Eternel  notre Dieu,  les choses révélées sont à nous et à nos enfants,  à perpétuité afin que nous mettions en pratique toutes ses paroles ".  
Sans dévoilement par Dieu lui-même ou ses envoyés de ce qui sort véritablement de sa bouche, il n'y a, à cause du péché qui entache la Lumière divine et enlève toute saveur à sa création, aucune chance pour les hommes sur terre  de connaître  le Dieu Créateur du ciel et de la terre, de pouvoir parler de Lui ou en son nom pour transmettre et bien enseigner ses lois, préceptes et commandements ( voir LEVITIQUE 17 :10-14, Deutéronome 7 : 26).  
En somme, toute la science  et la sagesse infinie et inégalable qui accompagnent la volonté qu'il manifeste au travers de ses lois, préceptes et commandements.
La Parole de Dieu s’affirme ainsi  comme consubstantielle sinon indétachable de sa Volonté ; c’est-à-dire de tout ce qu’il ordonne, prescrit ou recommande à travers chacune des paroles sorties de sa bouche.  
Par leur  force opératoire, elles s'imposent aux hommes (par-delà les copies et falsifications des Nations) comme l' instrument de son Pouvoir mais aussi le fruit de sa Sagesse infinie et inégalable appelé à venir en aide et au secours de l’homme créé à son image ( Gen 1 :27).
  • C) L’AMOUR le cœur de la Loi.
Que l’on prenne Deutéronome 6 : 4-5 ou encore Marc 12 : 29-31, il saute aux yeux, quels que soient le Temps ou l’époque, que la vocation première de la Parole de Dieu reste la même.
Qu’elle garde le même fond et poursuit le même but : amener l’homme à accéder puis expérimenter dans ses relations avec Dieu lui-même puis avec son prochain, l’amour de Dieu pour tous les hommes : cœur de ses lois et interdits.

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Des prescriptions qui leur donnent la vie ou leur procurent la Paix et le bien-être pour eux-mêmes et autour d’eux par l’interdiction qui leur est ainsi faite d'user entre eux de fraude, tromperie, ruse, méchanceté et violence dans leurs relations (cf : Exode 23 : 1-9).
En JÉRÉMIE 31 :27-33 et sous l’impulsion du Saint-Esprit, l’Eternel avait promis de rassembler par-delà Israël, son peuple dispersé aux quatre coins de la terre et de faire « une alliance nouvelle » différente de celle de nos Pères (Esaïe 43 :18-20).  
De nos jours, c'est désormais chose faite au travers de  l’invitation au repas du Seigneur Jésus-Christ ( Luc 14 : 15-24 et Math 22 :3) adressée à tous les hommes qui manifestent sur terre, le réel désir de revenir de leurs mauvaises voies pour redécouvrir la source première d'où chacun est sorti.
La promesse irréversible de Dieu, intimement attachée aux vertus de la GRÂCE  de notre appartenance désormais au troupeau de Jésus-Christ et aux bénédictions qu’Il nous réserve, reste encore conditionnée par l’obéissance et au respect  de ce qui fait toujours le cœur de la Loi et de l’amour de Dieu. Vertu dont la  caractéristique première est non seulement d'aimer profondément et sincèrement Dieu mais aussi ne causer également aucun tort ou préjudice à son prochain pour la paix et le bien-être de tous.
Avec la dernière barque descendue des cieux à travers la sainte Eglise venue des cieux  ( sous le règne et la Puissance du Saint-Esprit), l’Eternel réitère une dernière fois son appel à la REPENTANCE aux hommes de notre temps afin que par le biais de la SANCTIFICATION pour le SALUT et le pardon des péchés, chacun retrouve le seul  vrai chemin qui conduit à craindre le nom de Dieu pour n'adorer que Lui et Lui seul ( JÉRÉMIE 31 :33-34 et Apocalypse 3 : 10-13).
L’Esprit-Saint, qui se manifeste de nos jours puissamment un peu partout, ne fait alors que rendre témoignage à Jésus-Christ et de sa venue prochaine.
En prescrivant alors les 10 ordonnances et 12 interdits  à l’Eglise que Jésus Christ lui a confiée le 29 septembre 1947 sur « ordre divin «, le feu Prophète-Pasteur Fondateur SBJ Oshoffa (paix à son âme), inscrit en lettres d’or, la poursuite de son œuvre d’évangélisation encore et toujours sur les fondements de ce qui est sorti de la bouche de Dieu pour les hommes manifestant le réel désir de revenir à Lui.
Que l'on soit païen, idolâtre ou simplement religieux,  aucun homme ne peut, de lui-même,  trouver le chemin qui mène à Dieu sans passer par  Jésus-Christ.
Le Sauveur de l’humanité que Dieu nous présente lui-même dans les psaumes 2 ou 72 de notre liturgie au sujet du règne messianique de notre Seigneur Jésus-Christ.
Le seul et unique par qui, la GRÂCE, la VERITE et la Lumière  sur toutes choses nous sont désormais accessibles (Jean 1 : 17-18) .  
Le seul et unique intermédiaire qui,  toujours avec patience et douceur, nous ramène les uns les autres de nos mauvaises voies pour nous sauver. Nous redonner la Vie en ce jour de l’ascension en attendant le renouvellement de l’Esprit à la Pentecôte oû chacun sera moissonné (Apoc 14 : 12-16). Souvenons-nous alors  de ce qui dit la Parole de Dieu dans Romains 8 :9.
Que son nom soit magnifié, vénéré et béni d’âge en âge et de génération en génération pour le bonheur et la Paix de tous.
Paris le 13 mai 2021
Suprême Évangéliste  

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Marcel Claude D’ALMEIDA
Paroisse Autel de Vie de Drancy.

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